Le secteur de la manutention de conteneurs est à l’aube d’une transformation profonde des pratiques de maintenance.
Konecranes mène cette évolution en intégrant des technologies avancées telles que la surveillance à distance, l’analyse de données et la maintenance prédictive sur ses équipements et services. Ces innovations visent à améliorer l’efficacité opérationnelle, à réduire les temps d’arrêt et à promouvoir la durabilité. En répondant de manière proactive aux besoins de maintenance et en exploitant les données en temps réel, les opérateurs portuaires peuvent garantir des opérations plus sûres et plus productives, marquant ainsi une rupture significative avec les approches de maintenance traditionnelles.
Le paysage de la maintenance des ports et des terminaux est en pleine mutation, sous l’effet de la demande croissante des clients en matière de disponibilité, d’automatisation accrue et de la révolution numérique dans le déploiement des services de maintenance. Alors que les équipements de terminaux deviennent de plus en plus sophistiqués et connectés, les fabricants et consultants s’accordent à dire que la maintenance de ces équipements est devenue tout aussi importante que le matériel lui-même, notamment en termes de coût total de possession.
« La maintenance, et notamment les procédures de maintenance préventive, devient de plus en plus essentielle pour réduire les coûts et améliorer la fiabilité », déclare Alexander Koschinsky, consultant et ingénieur projet chez Hamburg Port Consulting (HPC). Il souligne toutefois qu’il ne s’agit pas d’une solution universelle : le type et la gamme d’équipements, des facteurs tels que les temps de fonctionnement, les niveaux d’automatisation et même les conditions météorologiques peuvent faire en sorte que la stratégie de maintenance appropriée diffère des recommandations standard des fabricants.
« Lorsque nous échangeons avec nos clients, nous insistons systématiquement sur la nécessité d’une procédure de maintenance applicable. On ne peut pas copier-coller d’un terminal à l’autre.»
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Cet article a été initialement publié sur : zone.konecranes.com